Savoir se réinventer

Savoir se réinventer

Bien d’accord avec vous. Pu capable d’entendre parler de pandémie, de COVID-19!

Le seul problème, c’est que ce n’est pas nous qui décidons du sujet qui s’invitera aux bulletins de nouvelles de soirée.

Et, comme plusieurs d’entre nous le savons très bien, la COVID-19 n’a pas dit son dernier mot. Nous sommes en pleine seconde vague, cette vague que tous craignaient mais que tous faisaient aussi semblant d’ignorer, de peur de la provoquer davantage.

Qu’on le veuille ou non, cette réalité nous a forcés à revoir notre façon de faire et de fonctionner. Posons-nous tous la question : me suis-je réinventé grâce à cette pandémie? Ai-je développé de nouveaux services, une façon de faire différente? La COVID a-t-elle été autant un tremplin qu’un boulet pour moi?

En décembre prochain [la COVID-19, l’acronyme pour COrona VIrus Décembre 2019 date de décembre dernier bien que l’humanité a commencé à en ressentir les contrecoups et les effets en mars 2020], il y aura un an que ce fléau nous affligeait, presque sans avertissement, assurément avec beaucoup d’ignorance et d’insouciance de notre part. Depuis, rien n’est pareil. Le télétravail est plus populaire que jamais, les rencontres et réunions virtuelles n’ont jamais été aussi fréquentes. Et nous, gens d’affaires, entrepreneurs à travers tout ça? Comment navigue-t-on en ces eaux instables, voire même inconnues?

Le mois dernier, nous avons été forcés de se réinventer à cause de la pandémie.

Un événement annuel ayant été annulé en raison de la COVID-19, c’est de manière virtuelle que ce happening a eu lieu cette année. Nous avons créé, de toutes pièces, un rendez-vous d’une semaine : photos, thématiques, statistiques, anecdotes, tableaux, faits cocasses. Tout pour rappeler qu’il y a moyen de faire différemment, d’exister d’une autre façon, de se réinventer.

Non seulement l’exercice fut un vif succès, mais il nous a permis d’apprendre de nouvelles choses et d’adopter des comportements que nous maintiendrons dans la gestion d’événements lorsque la « normalité » sera de retour. Un vieux sage a déjà dit que la nécessité était la mère de toute invention. Un autre lui a répliqué que c’était plutôt la paresse. Mais bon, qu’ils aient tous les deux raisons importe peu. Ce qui compte, c’est que nous avons su nous réinventer dans le meilleur intérêt de notre client et de ses partenaires.

La COVID aura au moins eu ça de positif!

Christian Gauthier
Président et conseiller senior
G5 Communications