Une infolettre, une corvée et une dépense superflue?

Une infolettre, une corvée et une dépense superflue?

Non! C’est plutôt un investissement essentiel dans le dialogue avec les citoyens. L’infolettre est un outil d’information générale complémentaire aux autres publications sur les réseaux sociaux ou sur votre site Internet.

Clés de la réussite?

  • La fréquence : minimum à chaque mois
  • L’attrait graphique : attirer l’attention et le goût d’aller plus loin
  • Une information claire, courte et percutante

 

Teaser attrayant et informatif pour créer l’attente du prochain numéro

  • Toujours y ajouter les liens pour votre site Internet et offrir ainsi plus de détails si requis

 

Nous pouvons vous assister :

  • Services graphiques
  • Services de rédaction
  • Stratégie globale

 

 

Consulter ou informer, à vous de choisir!

Consulter ou informer, à vous de choisir!

Vous invitez de bonne foi les citoyens à une assemblée publique de consultation sur le projet X. Vous êtes très bien préparés. En réels professionnels que vous êtes, vous avez fait vos devoirs.

Or, les citoyens ressortent de l’assemblée mécontents, en disant : « Tout est arrangé d’avance. Au fond, on n’a pas notre mot à dire. »

Pourquoi cette perception négative?

Erreur dans l’invitation.

C’est une assemblée d’information que vous avez lancée, pas une assemblée de consultation. Vous avez créé des attentes inassouvies!

– Assemblée de consultation :

1. Sondages ciblés ou généraux

2. Tables rondes de consultation en amont d’un projet

– Assemblée d’information :

Où en sommes-nous rendus dans l’évolution du projet, considérant ce que vous avez exprimé lors des consultation?

Évitez les pièges. G5 Communications peut vous consulter adéquatement!

 

Une présentation de vente gagnante, ça se prépare!

Une présentation de vente gagnante, ça se prépare!

Voilà! Vous y êtes! Vous avez une date et une heure pour aller présenter votre soumission à ce client que vous convoitez depuis longtemps.

Pas de problème, vous connaissez votre produit sur le bout de vos doigts et votre équipe respire la confiance. On ira à la date prévue leur prouver qu’on est les meilleurs! On prépare un document détaillé, on met ensemble dépliants et brochures promotionnelles et le tour est joué.

Eh bien justement, oui le tour est joué, mais vous risquez de devenir le joué plutôt que le joueur!

Préparer un pitch gagnant, une présentation de vente gagnante et convaincante, ça veut dire adopter une stratégie rigoureuse basée sur une attitude et des paroles centrées sur le succès du client avant le vôtre. On ne se prépare pas en insistant sur le fait que l’on soit bons, on est bons! On est là pour créer des solutions rentables pour répondre aux besoins du client potentiel.

Voici donc, en résumé, les étapes à franchir pour passer dans les ligues majeures, étapes qui ont fait leur preuve dans de nombreuses grandes entreprises.

Commençons par le commencement. Vendre, ce n’est pas parler, c’est écouter. Ce n’est pas forcer le jeu, c’est résoudre des problèmes. Les étapes suivantes, que nous proposons, font l’objet chez G5 Communications d’une formation et d’un coaching particulier que nous nommons LE PITCH GAGNANT!

Étape 1: On se prépare

  • Savoir à qui on s’adresse dans le détail;
  • Connaître son client et s’adapter à ses besoins;
  • S’assurer que la clarté est au rendez-vous dans vos propos.

Étape 2: On se pratique

  • On scénarise la présentation;
  • On épure le contenu pour aller à l’essentiel;
  • On fait un dry run (répétition générale).

Étape 3: On livre

  • Respect du scénario, pas d’improvisation;
  • Faire la preuve de ce que l’on avance;
  • Démontrer clairement les bénéfices concrets ($).

Voici également quelques principes que vous devriez garder en tête tout au long du processus:

  • On répond au doute du client par une preuve, par des faits concrets, que ce soit des témoignages d’experts ou des résultats positifs chez d’autres clients.
  • Le fondement de la clarté d’une présentation est le suivant: si vous ne pouvez pas expliquer ce que vous vendez à un jeune de 10 ans, c’est que vous ne savez pas ce que vous vendez.
  • Votre principal intérêt, celui qui doit transparaître tout au long de la présentation, c’est le succès du client.

En conclusion, posez-vous les trois questions suivantes:

  • Est-ce que mon argumentaire est centré sur les bénéfices de l’acheteur?
  • Est-ce que l’acheteur va avoir du plaisir à travailler avec moi ou avec nous?
  • Est-ce que nous allons avoir du plaisir à travailler avec lui, avec eux?

Comme le suggère notre thème de blogues cette année, oserez-vous bien vous préparer?

Bonne vente!

Jean Chartrand
G5 Communications

 

Prendre la parole en public. Le trac, ami ou ennemi?

Prendre la parole en public. Le trac, ami ou ennemi?

Votre patron ou votre entreprise vous dit un jour avec beaucoup d’enthousiasme : « Jean, tu vas faire la présentation du nouveau projet au congrès dans un mois. Bravo! Tu es celui qui possède le mieux le sujet, puisque c’est toi qui en a eu l’idée originale. »

 

Dans un premier temps, Wow! Quelle marque de confiance!

Dans un deuxième temps, quand tout le monde est parti et que vous vous retrouvez avec vous-même, la panique s’installe insidieusement. Moi? Parler devant une cinquantaine de personnes? Elles sont toutes plus compétentes que moi. Et si elles n’adhéraient pas au projet? Ça ne fait pas assez longtemps que je suis dans l’entreprise. Je n’aurai jamais le temps de me préparer! À la petite école, je n’étais jamais bon en oral, etc. Le doute vous fait soudainement trouver toutes sortes de raisons pour vouloir reculer devant cette opportunité.

Dans des circonstances semblables, quels conseils donner à ce porte-parole qui a l’impression qu’on l’a jeté dans la fausse aux lions?

Ce doute soudain, c’est le trac!

Cette peur viscérale d’être jugé par cet auditoire face auquel vous seriez entièrement seul et vulnérable. Toutes ces émotions sont normales. La peur de parler en public reste la peur no. 1 des gestionnaires modernes, même devant la peur de mourir.

Le temps passe et l’échéance arrive. Vous vous êtes préparé dix fois plutôt qu’une! Mais le trac est encore plus présent. Vous avez les mains moites, la bouche sèche, les jambes molles.

Quoi faire?

Prenons l’exemple des athlètes de haut niveau. Ils font face à des échéances serrées, et à des résultats mesurés de façon purement mathématique. C’est pire encore, et ça se produit à une fréquence incroyablement élevée. Comment font-ils, jour après jour, pour transformer cette énergie d’inconfort en énergie de performance?

  1. Ils reconnaissent ce qui se passe dans leur corps comme faisant partie du processus. Les symptômes physiques réels que vous ressentez et qui inhibent votre passion et votre performance sont en majeure partie liés à une mauvaise respiration, courte et haletante. Plus vous allez vous concentrer sur une respiration profonde et contrôlée, plus les symptômes vont s’atténuer. En fait, vous devriez commencer par expirer profondément.
  2. Pour performer, les athlètes ont besoin d’une excellente préparation physique. Je ne vous suggère pas de vous rendre au gym pour vous essouffler ou faire des poids. Non. Prendre conscience, par exemple, que si vous mangez 30 minutes avant votre présentation, de 20 à 30 % de votre énergie sera consacrée à la digestion qui risque d’être perturbée, d’une part, et qui, d’autre part, vous enlève une partie de cette énergie nécessaire à la performance.
  3. Les athlètes visualisent leur parcours, ça fait partie de leur préparation mentale. Pour vous, difficile de visualiser cet inconnu devant vous qu’est la présentation. Cependant, vous pouvez vous conditionner mentalement en vous répétant un mantra très simple : « J’ai hâte, ça va être génial, c’est une opportunité! » Trop simple vous pensez? Ne négligez pas la puissance des mots et le conditionnement positif qu’ils peuvent vous apporter.

Une formation efficace en prise de parole en public consiste à comprendre ce qui se passe, de ne négliger aucun détail, de la tenue vestimentaire en passant par la posture physique, le tout pour que votre concentration soit totalement dédiée à la performance. Prenons par exemple des souliers neufs que vous portez pour la première fois et qui soudain s’avèrent trop serrés sur le petit orteil gauche. Vous ne pouvez pas l’ignorer, vous avez donc encore une fois une distraction involontaire qui nuit à votre prestation.

Évidemment, il y a ceux et celles qui disent n’avoir jamais le trac! Permettez-moi d’en douter.

J’ai une expérience de 20 ans de radio et de télévision et toujours ce même moment de doute. Il faut performer! On est en direct, on ne peut pas revenir en arrière. Et tout à coup la lumière rouge du studio s’allume et c’est parti pour un moment de pur plaisir, bien égoïste au fond, basé sur le contact avec des gens qui écoutent pour apprendre quelque chose et qui, dites-vous bien, ne prendraient pas votre place pour tout l’or du monde.

Juste de l’adrénaline positive qui pousse l’athlète à se surpasser.

Sincèrement, le trac c’est un ami indispensable au dépassement de soi, avec en retour la satisfaction de réussir à convaincre!

 

Jean Chartrand
Formateur pédagogique et conseiller senior
G5 Communications

Formation en relations médias et porte-parole

 

Quand :

  • Selon la disponibilité de la clientèle

Heures de formation:

  • Journée complète de 8h00 à 17h00 (dîner sur place inclus) ou
  • Demi-journées de 8h00 à 12h00 (4 heures)

Nombre de personnes:

  • 1 à 5 personnes

Lieu

  • Lanaudière (À déterminer selon la provenance des participants.)

Critères d’admissibilités:

  • Dirigeant(e) d’entreprise, porte-parole officiel(le). Toute personne ayant comme responsabilité de s’adresser aux médias ou souhaitant parfaire ses talents d’orateur public et de vulgarisateur.

Prix de lancement privilège pour la première cohorte

  • 3500$ pour la journée complète
  • 2000$ pour la demie-journée

***Détails de la formation***

À partir de simulations d’interventions médias, nous offrons aux participants des outils concrets et simples qui leur permettent de devenir des porte-paroles efficaces et autonomes, tout en préservant la perception positive souhaitée par leur organisme.

Chaque debriefing de simulation est appuyé par des éléments théoriques collés à la réalité. Nous ne proposons pas des recettes toutes faites et inapplicables face la grande diversité  de situations médias, mais des stratégies adaptables à toutes les circonstances.

Notre objectif premier est de mettre en valeur les qualités de chaque participant sans porter de jugement, en mettant toujours l’emphase sur les forces plutôt que sur les faiblesses. Notre objectif final est que chaque participant reparte avec des outils pratiques auxquels il pourra se référer une fois de retour dans son milieu de travail.

Passez à l’étape supérieur et contactez-nous au 450-654-4075  ou par courriel à cgauthier@g5communications.com

*Pour tout groupe intéressé à une de nos formations, votre date sera la nôtre.

Communiquer c’est vendre!

Communiquer c’est vendre!

La communication c’est vendre!

Dans cette phrase, c’est le mot vendre qui dérange tant de gens, et qui fait qu’ils ne veulent pas être des vendeurs. Non, ils préfèrent qu’on les appelle des directeurs de comptes.

 

Pourtant, 

  • En communiquant clairement, on peut vendre une idée 
  • En communiquant simplement, on peut vendre un produit 
  • En communiquant ouvertement, on peut vendre un projet

Par votre approche de communication, vous avez le choix, vous vous imposez, vous forcez le jeu ou vous vous assurez que l’autre n’a pas le choix.  


Et voilà le moment où apparaît le malaise.

Je ne suis pas un vendeur à pression! 

Je ne veux pas vendre de frigidaire à un esquimau!

 

Alors, qui sommes nous?

Comment briser ce préjugé bien réel et bien ancré? 

Comment réussir à vendre en se sentant comme un authentique communicateur qui veut répondre à un besoin d’un client potentiel? 

Voici quelques trucs! Non, pas des trucs! On n’aime pas les trucs. Parlons plutôt d’attitudes! Concrètement! D’attitudes qui feront que communiquer pour persuader, donc vendre, ne sera pas un exercice de manipulation, mais un processus de connexion.

Premièrement,

Arrêter d’essayer de démontrer que vous et votre entreprise êtes les meilleurs! Bien sûr que vous êtes bons, votre interlocuteur a fait ses recherches et ce dernier le sait très bien, sinon vous ne seriez pas là devant lui. Son temps est précieux! Alors, ne lui faites pas perdre son temps en l’inondant de vos bons coups. Donc, mot d’ordre : attitude de fierté, mais pas d’orgueil démesuré. Soyez fiers de ce que vous êtes et de ce que vous faites, mais pas d’arrogance supérieure. 

Deuxièmement,

Toujours faire la preuve concrète de ce qui vous caractérise et vous distingue. Et voilà encore le risque de tomber dans le baratin de la vantardise. 

Par exemple:

Vendeur no. 1 : En achetant notre système de gestion, vous allez économiser des tonnes d’argent à tous les ans, nous sommes les meilleurs. 

Vendeur no. 2 : En achetant notre système de gestion, vous allez économiser l’équivalent de trois semaines de salaire par an dans ce département qui compte 10 employés. 

Bingo!

Vous avez touché le facteur de décision no.1 du dirigeant d’entreprise, les sous!

 

Troisièmement,

Poser des questions pour savoir, mais attention à l’angle de la question. 

Par exemple:

Est-ce que c’est vous qui prenez la décision finale? 

Embarrassant de répondre, si ce n’est pas votre interlocuteur qui a le dernier mot, mais un comité de la haute direction, à titre d’exemple. 

Voici la bonne façon de présenter la question : 

Pouvez-vous m’expliquer comment l’entreprise procède pour faire le choix final? 

Voilà une attitude respectueuse et ouverte qui vous permettra d’avoir la vraie réponse à coup sûr. 

L’objectif final est de vendre une idée, un produit, un projet! La communication persuasive devient alors votre outil de base. 

Ajoutez à cet outil une écoute patiente et une présentation simple et concrète, et vous vous rapprocherez du résultat final souhaité.

Ce que vous véhiculez et que l’autre partie doit saisir, c’est:

Nous voulons associer votre succès au nôtre! 

 

Jean Chartrand
Formateur pédagogique et conseiller senior
G5 Communications